La Commission Nationale des Droits des Femmes

Depuis sa création, La Grande Loge Féminine de France a toujours été particulièrement attentive au respect des droits des femmes et de leur dignité. Partant du constat que la discrimination envers les femmes traverse toutes les sociétés et tous les champs sociaux, que les droits des femmes sont encore aujourd’hui trop souvent bafoués, et que, dans notre pays, le décalage persiste entre le principe d’égalité et sa mise en place, la Grande Loge Féminine de France s’est dotée d’une Commission Nationale des Droits des Femmes, relayée dans chacune des douze Régions par une Commission Régionale, qui elle-même est en relation permanente avec les Loges (environ 450), réparties en France et à l’international) . 
La Commission s’attache à porter le regard des franc-maçonnes sur les problématiques des femmes d’aujourd’hui, à interroger les structures politiques, sociales et religieuses, ainsi que les courants culturels, qui pérennisent l’inégalité entre les femmes et les hommes, au détriment des femmes, et à imaginer des moyens pour y remédier. 
 
En effet, même si nos sociétés ont favorisé dans leur droit l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux, et aux fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales, elles restent encore profondément androcentrées, ainsi que le souligne l’anthropologue Françoise Héritier.
La réflexion de la Commission se porte particulièrement sur quatre thèmes :
– Elargissement des droits démocratiques en France et en Europe, exigence d’exercice de la parité
– Dignité et intégrité des femmes : violences physiques, verbales, psychologiques, culturelles, encore trop souvent tolérées, et prostitution,
 – Situation économique et financière : précarité des emplois, temps partiel, interruptions dans le travail, inégalités salariales, difficultés d’accès aux formations rémunératrices, inégalité des retraites, etc .,( Rapport sur la paupérisation des femmes),
– Promotion d’une éducation à l’égalité, dès le plus jeune âge, pour que filles et garçons aient des chances égales et puissent épanouir pleinement leurs potentialités.
 
A ces divers titres, la Commission a été chargée en 2013 de la rédaction du rapport alternatif de la GLFF pour le Comité CEDAW : Convention pour l’élimination des discriminations envers les femmes. Celui-ci a permis de mettre en lumière les insuffisances actuelles concernant les droits des femmes dans notre pays et de proposer des préconisations. Le document finalisé, traduit en anglais a été remis à la Présidente du Comité CEDAW aux Nations Unies Le 1er Décembre 2013.
 
La Commission Nationale des Droits des Femmes a également un rôle de veille et d’alerte au regard de l’actualité ainsi qu’un rôle d’expert et de conseil auprès de la Grande Maîtresse.
Elle prépare des contributions sur les sujets d’actualité : ouverture du mariage aux couples de personnes de même sexe, fin de vie, situation des femmes émigrées et migrantes, lutte contre le système prostitutionnel, égalité femmes-hommes, violences envers les femmes… 

UN RÔLE D’EXPERT

Elle participe à l’élaboration des dossiers pour les auditions de la GLFF auprès des Institutions de la République : loi sur les signes religieux à l’école, loi sur le voile intégral, accompagnement des personnes en fin de vie, égalité entre femmes et hommes contre les intégrismes religieux…
Elle propose des actions : envoi aux candidat-e-s à l’élection présidentielle de 2012 d’une plate-forme « 2012 : Pour une politique d’autonomie des femmes », 2013 : questionnaire aux candidat.e.s aux élections européennes portant entre autres sur le thème des droits des femmes, 2017 : questionnaire aux candidat.e.s aux élections présidentielles.
En outre, elle organise en direction du public des manifestations, tant à Paris qu’en Province, pour faire avancer la réflexion et participer à l’établissement des droits des femmes.
Colloques :
2009 : « Etre femme au XXIème siècle : textes, mensonges et idéaux » Lille, février 2009
2012 : « pour une politique d’autonomie des femmes », mars 2011, Paris,
2011 : « Corps de femmes et éthique », Rennes,
2012 « Education à l’égalité : construire une conscience libre », Tours
2013: « L’Europe, creuset de l’idée de démocratie et des droits fondamentaux de l’individu », Paris.
2015 : « 1975-2015, De la Loi Veil aux Droits des Femmes en Europe aujourd’hui », , Paris, mars 2015
2016 : « Droits des femmes et contenus théologiques : une confrontation inévitable »12 mars 2016, Paris dans le cadre des 70 ans de l’obédience. Colloque repris en régions.
2017 : « Droits des Femmes en mouvement » Paris, février 2017dans le cadre des 10 ans de la Commission

La Commission Nationale d'Histoire et de Recherches Maçonniques

Mise en place en 1976, la Commission Nationale d’Histoire et de Recherche Maçonniques (CNHRM) est chargée de constituer, archiver, entretenir et conserver le patrimoine historique et culturel de la Grande Loge Féminine de France (GLFF), de le faire connaître et d’en entretenir la mémoire afin de contribuer au rayonnement de la GLFF par la diffusion de l’histoire de la Franc-maçonnerie féminine.

Cinq livres d’Architecture de la loge Minerve 1945 à 1959
Archives des Loges de la GLFF
Cinq livres d’Architecture de la loge Minerve 1945 à 1959 Archives des Loges de la GLFF

ARCHIVAGE ET CONSERVATION

1 – Fonds historique
Avec l’aide des loges, elle met en place un fonds historique, mémoire de l’Obédience, permettant une mise à disposition de documents utiles aux recherches sur la franc-maçonnerie féminine et destinés à être consultés, à la demande, par leurs membres, par des étudiants ou des chercheurs.

2 – Bibliothèque
Afin de constituer une documentation maçonnique de qualité rassemblée dans une bibliothèque, elle recueille des livres, revues, articles maçonniques, philosophiques, symboliques, ésotériques ou autres, etc…,

Elle en effectue le recensement à l’aide d’un logiciel spécifique identique à celui des autres obédiences, ce qui permet de partager les informations.
Plus de 3.000 ouvrages, dont un très grand nombre concerne les femmes, sont ainsi offerts à la consultation sur place et sur demande.

L’ambition de la Commission Nationale d’Histoire et de Recherches Maçonniques est la constitution d’un Centre de Documentation qui réponde à la curiosité de ses 14.000 membres tout comme aux demandes de chercheurs et d’étudiants qui travaillent sur la franc-maçonnerie féminine.

3 – Collections 
Chaque Loge, au moment de sa création, fait fabriquer une médaille qui est portée comme un bijou par les membres des loges pendant leurs travaux. La Commission Nationale d’Histoire et de Recherche Maçonniques collecte systématiquement ces médailles, ce qui a permis :
-la constitution d’une vitrine d’exposition, véritable carte d’identité et d’Histoire de la G.L.F.F. qui s’enrichit au fil du temps.
-la création du premier Livre d’Or en 1983,
– la parution d’un Médaillier, livre qui recense, par de magnifiques photos, les médailles de plus de 450 loges et en explique le symbolisme.

La Commission Nationale d’Histoire et de Recherche Maçonniques travaille avec l’Association des Amies des Archives, des Collections et du Musée (A.A.A.C.M.), créée en 2006, qui peut acheter ou recevoir pour le compte de la Grande Loge Féminine de France tout objet maçonnique susceptible d’enrichir son patrimoine : tabliers, sautoirs, cordons, gravures, vaisselle, bijoux, etc,…
Elle emmagasine et répertorie ces objets maçonniques divers, mis en valeur dans des vitrines, en prévision de leur présentation dans un futur musée.

RECHERCHE ET TRANSMISSION ORALE ET ECRITE 

Avec l’aide des Commissions Régionales, elle conduit des recherches sur la place véritable, dans l’histoire du mouvement maçonnique, de la franc-maçonnerie féminine, née elle aussi, au 18è siècle, et sur le rôle de femmes remarquables, franc-maçonnes ou non qui, souvent dans l’ombre, ont œuvré à l’amélioration de l’humanité. Elle met leurs actions en lumière et les diffuse par des publications. Elle est présente dans les revues maçonniques.

L’accès aux Archives revenues de Russie, leur dépouillement et leur étude rigoureuse ont par exemple, permis la mise en lumière de la vie jusque-là méconnue des loges d’adoption du 20ème siècle.

Au 18ème siècle, dans la plupart des villes de province, se trouvaient des loges recevant des femmes. Les musées, les archives départementales et municipales détiennent de nombreux documents inexploités où presque tout reste à faire en matière de recherches.
La Commission Nationale d’Histoire et de Recherche Maçonniques, en collaboration avec les commissions d’histoire régionales, travaille à leur défrichage.

Ces recherches donnent lieu à :
– des conférences touchant principalement des femmes célèbres, maçonnes ou non, ou concernant notre histoire proche ou lointaine et aboutissant à des publications internes, dénommées Cahiers de la CNHRM
– des articles dans les revues historiques et dans les revues maçonniques.
– la parution de livres sur la franc- maçonnerie féminine, citons : Autoportrait, La Grande Loge Féminine de France – G.L.F.F. , le Que Sais-je ? sur la G.L.F.F. qui en est à sa 3e édition et dans la Collection Voix d’initiées de la G.L.F.F. Pionnières, filles d’Eve et de Marianne et Pionnières II Bâtisseuses d’Avenir
– une participation en tant qu’intervenantes aux colloques maçonniques internationaux tel, en Juin 2010, le premier colloque universitaire international de Bordeaux sur : Les femmes et la franc-maçonnerie, des Lumières à nos jours, Colloque particulièrement bien documenté qui a fait évoluer le regard sur la franc-maçonnerie féminine des siècles passés et dont les actes ont été publiés en deux volumes dans la Revue la Pensée et les Hommes. 

La Commission Nationale d’Histoire et de Recherche Maçonniques participe aux travaux des Commissions d’Histoire des autres obédiences maçonniques. Ces rencontres et collaborations ont commencé en octobre 1989 pour la Commission d’Histoire Maçonnique (CHM) de la Grande Loge de France et en juin 1995 pour l’Institut d’Etudes et de Recherche Maçonniques (IDERM) du Grand Orient de France.

Préserver et archiver le patrimoine historique et culturel de la Grande Loge Féminine de France, entretenir sa mémoire, étudier dans l’Histoire du mouvement maçonnique, la place et le rôle des femmes afin de réaliser un véritable historique de la Franc-maçonnerie féminine, et contribuer ainsi au rayonnement de la GLFF tels sont les buts principaux de cette Commission. 

La Grande Loge Féminie de France est membre de l’AMMLA ( Association of Masonic Museums Libraries Archives). Cette association rassemble les très nombreux musées-archives-bibliothèques maçonniques européens.

Le 15 juin 2019, le Regulus Award for Distinguished Service to the Scholarly Community a été attribué lors de la IIIe Conférence Internationale d’Histoire de la Franc-maçonnerie à la Commission d’Histoire de la Grande Loge Féminine de France pour le travail qu’elle mène depuis plus de vingt ans pour préserver et mieux faire connaître le patrimoine et l’histoire de la Maçonnerie féminine.

La Commission Nationale de la Laïcité

Le principe de laïcité, mis en œuvre par la loi du 9 décembre 1905, dite loi de séparation des églises et de l’Etat, et confirmé par les Constitutions françaises de 1946 et de 1958, est un des principes inscrits dans nos textes fondamentaux.

Il ne pouvait pas ne pas y être. Les travaux au sein de nos temples, où est posée en préalable la liberté absolue de conscience, où la parole circule librement, où l’on réfléchit en dehors de tout dogme, sont des lieux éminemment laïques et nous sommes attachées aux garanties que le principe de laïcité apporte à chacune et chacun. 

La Laïcité, en effet, garantit l’exercice d’une totale liberté de conscience, la liberté de croire ou ne pas croire, le droit de pratiquer une religion ou de n’en pratiquer aucune, l’égalité des options spirituelles. Séparant la sphère publique de la sphère privée, établissant l’universalité de la loi commune, la Laïcité concilie unité et diversité. C’est cette conciliation qui permet aux citoyennes et citoyens d’une communauté de destin, la République, de vivre en paix. En résumé, la Laïcité fonde la liberté, l’égalité, la fraternité.

Il faut donc la faire vivre et la défendre quand elle est menacée. Une nécessité face aux traditions rétrogrades qui ne désarment jamais. 

C’est ce que fait la Commission Nationale de la laïcité de La Grande Loge Féminine de France.

UN RÔLE MAJEUR

Comment cette commission d’étude travaille-t-elle ?
Sa fonction première est information et vigilance.
En lien constant avec les Commissions régionales qui nourrissent sa réflexion, la Commission nationale de la Laïcité recueille les témoignages des actions menées par les Franc-maçonnes pour la défense, l’illustration et la promotion de la Laïcité. Elle est attentive aux textes législatifs et réglementaires qu’elle analyse et critique. Elle alerte et informe sur les progrès comme sur les menaces dont la laïcité est l’objet. Un éclairage qui permet un partage fécond avec toute l’obédience, depuis son conseil fédéral jusqu’à ses ateliers, et donne à chaque franc-maçonne de la GLFF la possibilité de participer à l’étude, la promotion, la diffusion de la laïcité.

Sa fonction seconde : Proposition.
La Commission contribue à l’élaboration et à la préparation des interventions publiques de la Grande Maîtresse lorsqu’elle est invitée à s’exprimer publiquement.
Son avis est requis pour préparer les auditions devant les instances parlementaires, participant à l’expression claire de l’Obédience dans ses communiqués ou interviews lors d’une actualité où la Laïcité est impliquée, voire bafouée. C’est ainsi qu’elle s’est exprimée, à la demande du Parlement, sur le projet d’interdiction du port du voile et des signes religieux à l’école, sur le projet d’interdiction du voile intégral, sur les droits de l’enfant, sur la révision des lois Bioéthique.
Au sein de cette Commission de la laïcité, un groupe bioéthique a été constitué.
La vocation de ce groupe étant de réfléchir, en dehors de tout dogme, sur les interrogations posées par les progrès technologiques dans un monde en pleine mutation.

Afin de faire connaître ses travaux au-delà de nos temples :
La Commission nationale de la Laïcité organise – à Paris comme en région – des événements, notamment lors de la journée de la laïcité : portes ouvertes avec tables rondes, colloques et manifestations culturelles dans les régions etc…
Les thèmes de ses colloques sont parlants :
A nous les filles de Darwin ! L’offensive du créationnisme
La laïcité en danger dans les services publics
Quelle Laïcité pour l’Europe ?
la Clause de conscience, un outil dévoyé ?
et le dernier, en date du 10 décembre 2016 à l’auditorium de la mairie de Paris :
La laïcité : de la philosophie à la réalité.

La Commission nationale de la Laïcité fait également entendre sa voix sur les ondes en participant lors d’un dimanche de décembre à l’émission de France culture « Les divers aspects de la pensée contemporaine ».
La Commission nationale de la Laïcité a réalisé pour la collection « Voix d’initiées » de la Grande Loge Féminine de France un opus intitulé : La laïcité aujourd’hui, points de vue d’initiées.

Enfin, comme il importe de n’être pas seules dans ce combat, certaines de ses membres participent aux travaux du Collectif laïque, qui rassemble d’autres obédiences maçonniques et des associations engagées dans la promotion et la défense de la Laïcité.

La Commission Nationale Éthique et Bio-éthique

La Commission Nationale Ethique-Bioéthique de la Grande Loge Féminine de France, votée en 2018 par l’assemblée générale, est devenue effective en septembre 2019.
Elle est relayée par des commissions régionales existant dans chacune des douze régions de notre Obédience. Les sœurs des loges qui le souhaitent participent à ces travaux.
Dès la naissance des civilisations et de l’expression symbolique, le questionnement éthique a interrogé les croyances. Dans ce monde des incertitudes, l’éthique bouscule la raison et l’intention au-delà de l’arbitraire du vouloir individuel, pour le confronter aux communs existentiels.
Aujourd’hui, face à l’évolution prospective des sciences, de l’histoire et de la philosophie dans leurs applications sociétales, l’éthique est un espace de discussion, de débats, d’argumentation, bâtissant la préservation de ces communs.
Notre commission se veut réceptacle de la pensée de toutes les Sœurs mais ne reste pas cantonnée au seul domaine de l’intentionnalité.
En effet l’éthique est comportement, discernement, en lien avec le monde qui nous entoure. La vie éthique est celle du « bien vivre » à la recherche d’un équilibre.
Toute réflexion éthique est sous-tendue par des vertus que nous connaissons bien en Franc-Maçonnerie : la justice, la tempérance, l’altruisme, le courage et l’engagement. Cette réflexion est en construction permanente et constamment remise en question selon les avancées sociétales.
Face à un monde en grande instabilité, soulignant la dangerosité de l’ignorance, la commission éthique–bioéthique, avec toutes les Sœurs de l’Obédience, accompagne cette mutation, pour remettre l’Humain au centre.
Sur la base de nos principes de Liberté, Egalité, Fraternité, Laïcité, les valeurs humanistes sont mises en œuvre et questionnent les dilemmes soulevés par l’exigence du respect des droits humains.
Quatre groupes de travail sont ainsi à l’œuvre au sein de la commission. Ces groupes demeurent en veille sur tout sujet qui émerge de l’actualité et parfois dans ‘‘l’urgence’’. Voici quelques exemples de thèmes de réflexion :

  1. Groupe « bioéthique » : lois de bioéthique – la fin de vie – vaccins et vaccination – les neurosciences…
  2. Groupe « éthique numérique et Intelligence Artificielle » : sobriété numérique et responsabilité environnementale ; santé et citoyenneté numérique – fracture numérique et fracture sociale…
  3. Groupe « éthique environnementale » : L’environnement – Humanisme et écologie – L’écoféminisme ………
  4. Groupe « éthique et Franc-Maçonnerie » – L’adhésion à nos valeurs. – Ethique de la responsabilité …………….

Conclusion :

La Commission Ethique Bioéthique de la Grande Loge Féminine de France est particulièrement attentive aux inégalités liées aux injustices structurelles.
La mobilisation des SS au sein des ces quatre sous groupes  est en prise directe avec les changements de paradigmes sur le vivant, la pensée, le virtuel et la finitude de la biodiversité planétaire.
Ces réflexions, quelque peu libérées des jougs de l’ignorance, pour penser autrement sont un levier dans l’investissement sociétal. L’information, la transmission et la diffusion des connaissances en constante mutation nous conduisent à l’élaboration de dossiers mis à disposition.
La commission peut être consultée,  et ce fut déjà le cas, en réponse aux sollicitations des différentes instances de la République.
Devant les surexploitations des mondes physiques, psychiques et de la communication, nous espérons, par la force de notre pensée critique, réinventer des cadres opérants à la préservation de l’essentiel, le « bien être » des femmes et des hommes dans un espace sauvegardé. Ainsi se concrétise la tradition maçonnique, tradition de progrès.